Ils auront été, quelque part, les deux autres hommes de sa vie. Me Alain Behr a défendu Simone Weber de janvier 1986, c’est-à-dire quelques semaines après son incarcération, jusqu’à ces derniers jours. Le juge Gilbert Thiel, lui, a mis la « Diabolique de Nancy » en examen en 1985 et l’a renvoyée aux assises. Alain Behr témoigne de ce qu’il a vécu auprès de celle qui ne cessa de clamer son innocence, même du fond de sa maison de retraite.
Sur la photo : Simone Weber avec deux de ses avocats, Me Alain Behr et Me François Robinet. Photo DR